Afin de mieux découvrir certains bâtiments emblématiques du Chesnay, les photos seront repérées par leur numéro en bas à gauche. Vous pourrez vous y référer en regardant la photo pour avoir plus d’explications.

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1)  Site Théâtre André Malraux   

 
N° photo Photographe Description de la photo
101 Ghislaine Meicler Graphisme avec les “moucharabiés” caractéristiques de certains bâtiments administratifs de Parly 2
102 Arielle Donnio-Puechoultres EMPIRE
Cet imposant mausolée abrite, pour l’éternité, le général de brigade Michel-Aloys Ney, petit-fils du maréchal d’Empire Michel Ney « Le brave des braves » duc d’Elchingen et prince de la Moskowa. Y reposent aussi, 2 de ses filles Marguerite et Clotilde, mortes en bas âge et son petit fils Pierre, fils de sa fille ainée Marie Cécile mariée au prince Joachim Napoléon Murat, arrière-petit-fils de Joachim Murat maréchal d’Empire, grand amiral d’Empire, grand-duc de Berg et roi de Naples.
Michel-Aloys Ney avait épousé, en 1866 à Rocquencourt, Paule Heine-Furtado dont l’arrière-grand-père Beer Léon Fould fut un des premiers maires de Rocquencourt et bienfaiteur de la commune.
103 François Winterhalter ÉGLISE SAINT-ANTOINE
PORTE SAINT-ANTOINE
Avec ce cadrage serré sous une ambiance pluvieuse, l’entrée de l’église néo-gothique Saint Antoine présente une parenté surprenante avec celle d’un château, ou avec la porte fortifiée d’une cité – d’où le nom donné à cette photo. La chaîne délimitant l’enclos paroissial renforce encore cette impression, de même que les pierres de meulière et la teinte sombre des vitraux de part et d’autre des tourelles de l’entrée. Seuls, le tympan surmontant le portail et la discrète croix sur la porte nous rappellent la vraie nature du lieu.
104 Philippe Meicler Poste communale
Le petit bureau de la Poste situé à l’angle des rues de Versailles et Exelmans au Chesnay deviendra une agence postale communale. La ville a acquis la petite maison. Le service est assuré par des agents communaux qui effectueront uniquement les missions courantes liées à l’affranchissement et à la vente de timbres.
105 Bruno C. Masque-à-la-Piscine_Coeur-de-ville : ” Illusion spéculaire ou quand un simple reflet crée une fantasmagorie”
106 Luc Médard Hôpital Mignot : sous l’héliport, forme ressemblant à un éventail.
107 François Winterhalter HÔPITAL MIGNOT
FACES ET FACETTES
L’entrée de la maternité de l’hôpital Mignot présente un caractère très graphique : le bâtiment de gauche et celui de droite s’opposent par leurs teintes et leurs formes – l’un tout en plans et angles droits, l’autre en courbes brisées – et pourtant ils se répondent par la modernité de leurs lignes. J’aime le contraste entre la blancheur de la façade et le noir-bleuté des grandes fenêtres du bâtiment de gauche, ainsi que la gradation des gris qui animent les facettes du bâtiment de droite. Les arbres nus et le ciel gris-pâle de cet après-midi d’hiver renforcent l’impression de dépouillement, la seule touche de couleur discrète venant des points rouge sombre des fenêtres centrales.
108 Elisabeth Winterhalter ROCQUENCOURT
DOMAINE DE ROCQUENCOURT
Les immeubles du Domaine de Rocquencourt étirent au soleil leurs longs balcons aux lignes régulières tracées au cordeau, que prolongent des bandes blanches. La teinte brun-roux des extrémités des façades répond harmonieusement au vert de la pelouse : un havre de paix autour de son beau parc arboré.
109 Philippe Meicler L’architecte Leyendecker est choisi pour construire l’église (celui-ci demanda pour tout honoraire que son effigie soit gravée dans le verre du premier vitrail de l’église).  L’église est orientée au nord.  La flèche de l’église mesure 51 mètres de hauteur.
Les noms des quatre cloches de l’église sont : Marie, Marie-Antoinette, Marie-Anastasie et Félicienne. Les vitraux sont créés par la Maison Lorin. Ils reproduisent les faits marquants de la vie de Saint Antoine.
110 Nathalie Gayet Une porte bleue qui met du soleil dans l’avenue de Maintenon et se marrie si bien avec la pierre meulière du n°4bis.
La meulière est la signature et le patrimoine de l’Ile-de-France. La technique de fabrication des murs en meulière est le joint par rocaillage. Il faut réaliser un jointement de chaux dans lequel on a inséré des fragments de meulière, de briques, d’ocre ou de terre de Sienne, pour que le joint soit coloré. Un savoir-faire des ouvriers-rocailleurs quasiment disparu aujourd’hui.
111 Philippe Meicler Dans cette photo, on voit l’opposition entre l’Eglise Saint-Antoine de Padoue et l’architecture de Parly 2 au premier plan par un beau ciel d’orage.
112

Pierre-André Schoentgen

Les fidèles convergeant pour la messe du dimanche soir à l’Eglise St Antoine de Padoue.

Pour desservir la nouvelle population du Plateau, le chanoine Boissis entreprend en 1897 de financer et de construire une nouvelle église de style néo-gothique. L’architecte Leyendecker est choisi pour construire l’église (celui-ci demanda pour tout honoraire que son effigie soit gravée dans le verre du premier vitrail de l’église). Inaugurée en 1900, elle n’est définitivement achevée qu’en 1910. Sa flèche de 51 mètres s’inscrit dans la perspective du boulevard du Roi. Au chevet de l’église se trouve un calvaire de style breton au pied duquel est enterré  le curé fondateur de la paroisse. C’est en 1970 que l’artiste versaillaise Yvonne Argand et ancienne paroissienne du Chesnay a été sollicitée pour réaliser le Christ adossé à une spirale qui domine l’autel et que l’on voit sur la photo.

113 Martine Goavec Détail d’une résidence.
114 Ghislaine Meicler Graphisme avec les “moucharabiés” caractéristiques de certains bâtiments administratifs de Parly 2
115 Nathalie Gayet Des lignes de béton et du fer en guise d’escalier. Une matière brute qui m’a inspirée.
116 Philippe Meicler HELISTATION HÔPITAL MIGNOT
Les opérations de transport sanitaire d’urgence effectuées par hélicoptère à destination ou en
provenance des hôpitaux doivent répondre à
– le jour, 1 500 mètres de visibilité, hors des nuages et en vue de la surface ;
– la nuit, 4 000 mètres de visibilité et 450 mètres de plafond.
117 Pierre-André Schoentgen

En fin de matinée le soleil traverse cette belle maison en meulière typique du plateau Saint Antoine.

Ces maisons ont été construites pour la plupart au début du XXe siècle par une bourgeoisie parisienne souhaitant s’éloigner en banlieue. Elles se distinguent par leur style architectural et leur ornementation inspirés par l’Art nouveau, avec notamment l’utilisation de fer forgé et souvent imbrications de briques colorées, de céramique et de faïence sur les façades.

118 Luc Médard Façade du bâtiment Neptune. Il fait face au Temple Mormon, l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, et fait penser à un masque à plusieurs étages.
119 Luc Médard Porte Vendôme du Centre Commercial Westfield Parly 2. Ce centre possède un grand nombre de portes très différentes en fonction de leur position soit dans le centre original de 1969, soit dans la 2ème extension de 1987, soit dans la toute dernière datant de 2017, le mall du Pont-Neuf.
120 Philippe Meicler DUTARTRE
Mur d’escalade au Gymnase Pellouard
121 François Winterhalter PARC DE ROCQUENCOURT
CONVERGENCES
J’aime le graphisme moderne que l’architecte Jean Dubuisson a donné à ce bâtiment du Parc de Rocquencourt, désormais rénové. La grande « pergola » en moitié supérieure de la photo bloque le regard vers le haut, et ses lignes de force le guident vers les arbres dénudés de l’arrière-plan, seuls éléments naturels et désordonnés de l’ensemble. Le regard glisse ensuite vers les baies vitrées du fond qui reflètent et déforment des images de Parly2, suggérant même des tours de la Défense. L’ensemble de ces éléments et les cloisons blanches du bas se reflètent encore sur l’aile droite qu’ils animent, tout en ramenant à nouveau le regard vers l’arrière-plan.
122 Philippe Meicler COEUR DE VILLE
Vue sur les résidences de Parly 2 du toit de l’Hôpital Privé de Parly 2

2)  Site Entrée Madeleine du centre Commercial de Parly 2

N° photo Photographe Description de la photo
201 Ghislaine Meicler Blanche de Castille, au dessus de la verrière, au niveau des Classes Préparatoires.
202 Luc Médard Façade d’entrée du siège de l’INRIA. Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique.
Créé en 1967 dans le cadre du Plan Calcul lancé par de Gaulle, l’IRIA (Institut de recherche en informatique et automatique) s’installe dès l’origine à Rocquencourt, sur un site précédemment occupé par l’OTAN. L’objectif du Plan Calcul ? Construire l’autonomie de la France dans les technologies de l’information et poser – déjà – les bases d’une recherche en informatique concertée à l’échelle européenne…
Au sein de 220 équipes-projets, pour la plupart communes avec les grandes universités de recherche, plus de 3 900 chercheurs et ingénieurs y explorent des voies nouvelles, souvent dans l’interdisciplinarité et en collaboration avec des partenaires industriels pour répondre à des défis ambitieux.
Institut technologique, Inria soutient la diversité des voies de l’innovation : de l’édition open source de logiciels à la création de startups technologiques (Deeptech).

Ce nouveau bâtiment a été construit en 2001 par Henri Ciriani, architecte  péruvien, qui s’est d’abord fait connaître pour ses réalisations dans le logement social et son engagement dans le droit-fil de la pensée de Le Corbusier.. On remarquera sa très grande maitrise de l’utilisation du béton.
La façade principale ressemble à une carte perforée utilisée sur les premiers ordinateurs.
203 Arielle Donnio-Puechoultres Mairie de Rocquencourt
La seconde mairie de Rocquencourt, petit bâtiment en meulière typique des édifices publics villageois des années 1930 et située en limite du vieux village ne correspondant plus aux nouveaux besoins de la commune, la construction d’un nouvel hôtel de ville fut décidée. En 2004, son implantation en cœur de ville sur un terrain fortement arboré, au sud du domaine du Parc, a été complétée par la création d’un parking souterrain, d’une maison des associations, d’un poste de police et d’un bureau de poste sur le même site. Ce bâtiment en béton blanc et pierre bleue du Hainaut est réchauffé à l’intérieur par l’apport du bois.
204 Pierre-André Schoentgen

Le printemps fait fleurir la glycine qui met si bien en valeur cette maison en meulière typique du plateau Saint Antoine.

Ces maisons ont été, construites pour la plupart au début du XXe siècle par une bourgeoisie parisienne souhaitant s’éloigner en banlieue. Elles se distinguent par leur style architectural et leur ornementation inspirés par l’Art nouveau, avec notamment l’utilisation de fer forgé et souvent imbrications de briques colorées, de céramique et de faïence sur les façades.

205 Pierre-André Schoentgen

Tous les Chesnaycourtois reconnaitront ce taxi qui stationne à l’abri de l’église Saint Antoine de Padoue !

206 Arielle Donnio-Puechoultres Quartier des Castors
En 1945, la situation du logement en France est dramatique : 450 000 logements détruits et plus de 1 500 000 endommagés. Le défi est immense. Des bâtisseurs vont alors œuvrer pour reconstruire leur maison, de leurs propres mains lors de grands chantiers collaboratifs et solidaires. Ces coopérateurs pallient la faiblesse de leur revenu par une implication personnelle dans les travaux de construction et par une organisation commune du travail montrant que l’initiative privée peut se substituer à l’Etat. Ils prendront le nom des Castors et 12 108 logements seront construits de cette manière entre 1948 et 1952.
Au Chesnay, Marie Madeleine et Suzanne Poupinet acceptent, en 1958, de vendre des parcelles de terrain de la Ferme du Chesnay qu’elles avaient héritées de leur grand-père Julien Poupinet. La société des Coopérateurs et Castors d’Ile de France va alors construire 91 pavillons et 2 petits immeubles collectifs dans 4 rues et une impasse dans la rue de la Celle, du Général Welvert, Alexandre Ribot, Guynemer et dans l’impasse Perrot. Aujourd’hui encore, l’esprit Castor règne dans ce quartier qui, bien qu’il ait perdu quelque peu son caractère populaire a su rester solidaire et convivial.
207 Philippe Meicler Certaines résidences de Parly 2 ont une façade ressemblant à des Diamants , il existe plusieurs esthétiques de façades selon les type 1, 2 ou 3 des résidences.
Le véritable bouleversement va se produire lors d’un conseil municipal le 10 avril 1964. Ce soir-là, Pierre Genouville communique aux élus l’intention d’une Société Civile Immobilière : « Le Chesnay-Trianon », de réaliser 5000 logements situés dans le triangle rue de Versailles, boulevard Saint Antoine et rue de La Celle. L’initiateur de la SCI Le Chesnay-Trianon est Robert de Balkany, promoteur immobilier connu ( il vient de réaliser Elysée 1 et 2 à La Celle Saint Cloud ) en particulier pour son audace et son usage immodéré de l’arme publicitaire. Au final, ce seront 7 500 logements, répartis partout au Chesnay ( mais non dans le triangle prévu originellement ). Cinq nouveaux quartiers sont ainsi créés : la Coulée du Pont, la Maison Blanche, la Grande Ferme, Moxouris, et Saint Antoine.
208 Philippe Meicler Vue sur le terrain de football et le cimetière , photo prise du toit de l’Hôpital Privé de Parly 2.

Créé au début du XIX siècle et agrandi progressivement, le cimetière accueille dans sa partie ancienne quelques vieilles tombes à l’allure romantique. On peut y découvrir dans ses diverses parties des sépultures de notables comme les Ney d’Elchingen, les Dutartre ou les Caruel de Saint-Martin, des maires du Chesnay ou de Rocquencourt tels que Jacques Leclerc ou André Crozet, des châtelains comme les Aubert.
• Famille Caruel de Saint-Martin, bienfaiteur de la commune, Jean-Baptiste Caruel fut nommé maire par arrêté préfectoral du 25 juillet 1813. Il démissionna pour convenances personnelles en 1821. La révolution de 1848 porta à la mairie Paul Caruel, son fils Conseiller général puis député, il rendit les plus grands services à la commune et demeura maire du Chesnay pendant 21 ans, jusqu’en 1869.

• Jean-Louis Forain (1852-1931), peintre, graveur, illustrateur, il acquiert une immense renommée en publiant pendant un demi-siècle des dessins pleins d’ironie dans la presse. Il sait faire rire les Parisiens, notamment en dénonçant les travers du bourgeois. Destinés à des journaux aussi variés que Le Figaro, Le Courrier français, The New York Herald ou Le Rire. Il laisse une importante œuvre peinte exposée dans les musées du monde entier. Il vécut au Chesnay de 1909 à sa mort.

• Pierre Clostermann (1921-2006), aviateur connu comme « l’As » français de la Seconde Guerre mondiale avec 33 victoires homologuées par l’Armée de l’Air, la plupart remportées contre des avions de chasse allemands, ce qui lui vaut à 24 ans d’être proclamé à l’ordre du jour « le premier chasseur de France » par le général de Gaulle Après la Seconde Guerre mondiale, il entame une carrière d’écrivain en relatant sa vie de pilote de chasse. Paru en 1948, son ouvrage « Le Grand Cirque » est publié à 3 millions d’exemplaires et traduit dans plus de 30 lanques.
209 Martine Goavec Escalier de secours.
210 Elisabeth Winterhalter DUTARTRE
ANCIENNE USINE FENWICK
Les ateliers du centre technique municipal qui prolongent la médiathèque sont installés dans l’ancienne usine Fenwick, active au Chesnay de 1954 à 1995. Elle succédait aux établissements Bauche, fabricants de tracteurs agricoles et d’engins de manutention depuis les années 20, notamment au profit de la SNCF et d’Air France. Les ateliers municipaux pérennisent donc en quelque sorte ce riche passé industriel du Chesnay.
L’ancienne usine rénovée présente des lignes inhabituelles à Parly 2, et les cheminées très particulières qui ornent le faîte des toitures attirent de loin le regard. Les baies vitrées triangulaires où se reflètent les nuages de cette belle journée de printemps soulignent la ligne brisée de la toiture. Les vitres sombres, comme les poteaux de la clôture et les poutrelles de l’auvent, contrastent agréablement avec la façade et le muret de briques rouges.
211 François Winterhalter DUTARTRE
SORTIE DES ARTISTES
Dans ce cadrage resserré, le sommet de l’entrée des artistes de la Grande Scène de la médiathèque présente un aspect très épuré et presque cubiste. Le bleu pâle d’un ciel printanier répond au gris-bleuté des façades métalliques et le mur rose leur apporte sa note complémentaire de teinte pastel. Petite touche de vie et clin d’œil au photographe, un oiseau s’envole tel un artiste quittant sa cage – ou l’inverse peut-être ?
212 Pierre-André Schoentgen

Lumière d’automne sur cette magnifique demeure en meulière avec son clocheton si caractéristique dominant le quartier Saint Antoine.

Ces maisons en meulière ont été construites pour la plupart au début du XXe siècle par une bourgeoisie parisienne souhaitant s’éloigner en banlieue. Elles se distinguent par leur style architectural et leur ornementation inspirés par l’Art nouveau, avec notamment l’utilisation de fer forgé et souvent imbrications de briques colorées, de céramique et de faïence sur les façades.

213 Luc Médard Centre commercial Westfield Parly 2, Porte Saint Michel. J’ai été frappé par la lumière venant illuminer cet ensemble de tubes dorés contrastant avec les verrières.
214 Luc Médard Villa Chevreloup, intérieur. Cette photo prise presque au ras du sol, donne une dimension intéressante à cet espace utilisé pour des événements tels que des séminaires, mariages etc.
215 Luc Médard Entrée du cinéma UGC. Le nouveau cinéma du centre commercial Parly2 a été imaginé par l’architecte Pierre Chican. Depuis mars 2019, il offre 12 salles équipées des dernières technologies.
216 Martine Goavec Reflets du centre commercial Parly2 à travers une vitrine.
217 Bruno C. Immeuble-vitré_Aubert : ” Un immense miroir en guise de mur”
218 François Winterhalter ROCQUENCOURT
L’ARBRE SUR LE TOIT
Les résidences modernes construites ces dernières années ont profondément modifié le visage de notre vieux Rocquencourt. Parcourant ses rues j’ai été amusé par ce clin d’œil à la nature : au sommet des imposantes façades aux sévères lignes géométriques, un olivier isolé étire ses branches échevelées vers un ciel chargé de nuages. « Comme un arbre dans la ville, je suis né dans le béton … »
219 Pierre-André Schoentgen

L’horloge FOULD indique 23h08 à l’entrée de Rocquencourt sur la nationale 186.

Cette horloge qui date de 1844 a été offerte à la commune par le Maire de l’époque Beer Leon FOULD banquier à Paris et père du ministre de la deuxième république et du second empire Achille Fould. Sur le tympan on peut y voir l’inscription suivante : Reconnaissance éternelle des habitants de Rocquencourt à Monsieur FOULD Père, maire de la commune fondateur de l’école communale gratuite en 1839.

220 Martine Goavec Notre Dame de la Résurrection est une église paroissiale catholique dont la façade est marquée par un auvent en béton formant une croix. Sa construction débute en 1969 sous la direction de l’architecte Claude Balick, elle est consacrée fin 1971. Son histoire est intimement liée à celle de Parly2.En effet les demoiselles Poupinet  acceptèrent de vendre un terrain de 110 hectares au promoteur du projet Parly2 à la condition qu’une église y soit construite.  
221 Ghislaine Meicler La façade de l’Hôpital Mignot et ses reflets . Lignes et géométrie.
222 Martine Goavec Le monument aux morts du cimetière Saint Germain est l’œuvre du sculpteur Paul Duvelle. Il a été financé par les villes du Chesnay et de Rocquencourt ainsi que par des particuliers et inauguré le 7 août 1921. Il fait parti des 263 monuments commémoratifs érigés dans le département des Yvelines en mémoire des soldats tués lors de la 1ére guerre mondiale.
223 Pierre-André Schoentgen

Situés entre la rue de Glatigny et la rue de Versailles ces logements à l’origine destinés à l’accession à la propriété d’employé d’entreprises publiques ont été construits dans la foulée du lotissement voisin de Bricqueville à la fin des années 50 (eux-mêmes réalisés sous l’impulsion d’agents d’EDF-GDF, voir photo 708).

Cette photo est prise allée des Sycomores.

2)  Site Parc des senteurs

N° photo Photographe Description de la photo
301 Martine Goavec Blanche de Castille, site du collège et Lycée. L’établissement Blanche de Castille, situé au Chesnay, dans le diocèse de Versailles, accueille sur deux sites 2400 élèves et étudiants. Composé d’une école, d’un collège, d’un lycée et de classes préparatoires littéraires, il appartient à l’Enseignement catholique, il est sous contrat d’association avec l’État.
302 Martine Goavec Cet immeuble de bureaux a été construit dans les années 1960 par Jean Dubuisson, au milieu d’un parc. Il a fait l’objet d’une restructuration en 2019 par l’agence Dubuisson. Jean Dubuisson, 1914-2011, a été l’un des architectes majeurs de la Reconstruction et des Trentes Glorieuses au travers de la construction de logements sociaux, d’immeubles de bureaux, d’édifices publics ou religieux.
303 Pierre-André Schoentgen

Collège Charles Péguy, batiment B, cage d’escalier extérieure. Comment l’architecte arrive à donner vie à un batiment trop simple.

304 Ghislaine Meicler Contraste Noir et Blanc dans cet escalier.
305 Luc Médard Maison de retraite Les Lys – ORPEA
C’est un ancien immeuble de bureau transformé en une maison de retraite médicalisée, qui accueille des personnes âgées autonomes, semi-valides et dépendantes.
306 Philippe Meicler EGLISE SAINT-ANTOINE
Dans un escalier menant au clocher.
Jusqu’à la construction de cet édifice, le Chesnay ne disposait que d’une seule église (l’église Saint Germain). Mais, avec une population qui passe de 272 habitants en 1806 à 2 970 habitants en 1891, celle-ci est devenue trop exigüe et ne peut plus répondre aux attentes de la population. La construction d’une nouvelle église est décidée.
En 1894, l’évêque Pierre Goux confie à l’abbé Charles Boissis, la mission de bâtir une nouvelle église dans la commune du Chesnay.
En 1896, est acquis le terrain qui accueillera l’église.
Le 19 avril 1897, la première pierre est posée.
Le 18 novembre 1900, l’église est inaugurée et bénie.
En 1903, le cloché est terminé.
En 1906, le dernier vitrail est posé.
En 1910, le tympan du portail est terminé et les cloches bénies.
En 1913, les deux orgues sont finis d’être installés.
307 Pierre-André Schoentgen

Ce gymnase fait partie du centre sportif qui se trouve dans le domaine de l’INRIA. Il ne fallait surtout pas allumer l’éclairage pour profiter de ces belles entrées de lumière naturelle.

308 Philippe Meicler Jean Dubuisson l’architecte initial de ce bâtiment est un architecte réputé. Il est le fils de l’architecte Émile Dubuisson (1873-1947), le père du designer Sylvain Dubuisson et des architectes Marie-Aurore et Francois Dubuisson En 1943. il obtient le deuxième Grand Prix de Rome avant d’obtenir le premier Grand Prix en 1945. Il reste un des représentants majeurs de l’architecture française des Trente Glorieuses avec ses grands ensembles de logements dont le Shape Village de Saint-Germain-en-Laye. Outre une culture classique acquise à l’École des Beaux-Arts de Paris et à la villa Médicis de Rome, il est influencé par les architectes Ludwig Mies van der Rohe, Arne Jacobsen ou Walter Gropius. Après les destructions massives de la Seconde Guerre mondiale, il souhaite s’impliquer dans l’aventure de la Reconstruction. Il a construit à lui seul 20 000 logements sociaux
309 François Winterhalter PARC DE ROCQUENCOURT
ZIGZAGS EN COURBE
Mon œil s’est arrêté sur ce cadrage très graphique d’un immeuble de Jean Dubuisson, parc de Rocquencourt. Sous une grande coupole vitrée centrale le motif répété en lignes brisées des panneaux gris, et les intersections des poutrelles noires, contrastent avec la souple hyperbole claire dans laquelle ces figures géométriques s’inscrivent. L’arrière-plan est animé par la façade intérieure du bâtiment, elle aussi très géométrique. Une photo contrastée en noir et blanc s’imposait pour souligner les lignes qui structurent l’image.
310 Ghislaine Meicler Graphisme de la façade. L’Ecole élémentaire Georges Guynemer est une école qui a une excellente notoriété localement auprès des parents d’élèves. Ses effectifs sont de 300 écoliers.
311 Ghislaine Meicler L’École maternelle Mozart était une école maternelle,
Cette école maternelle ouverte depuis environ 49 ans (08-05-1974) et dépend du ministère de l’éducation nationale. mais a été fermée par manque d’élève et de classes ouvertes.
312 Pierre-André Schoentgen

Détail architectural d’une belle maison en meulière typique du plateau Saint Antoine mise en valeur par l’éclairage rasant d’une matinée d’automne. Soin du dessin, harmonie des couleurs.

Ces maisons ont été construites pour la plupart au début du XXe siècle par une bourgeoisie parisienne souhaitant s’éloigner en banlieue. Elles se distinguent par leur style architectural et leur ornementation inspirés par l’Art nouveau, avec notamment l’utilisation de fer forgé et souvent imbrications de briques colorées, de céramique et de faïence sur les façades.

313 Luc Médard Colombarium du Cimetière Saint-Geramin.
Le mot vient du latin classique columbarium « colombier », construction destinée à abriter les pigeons, qui s’abritent dans des niches creusées dans les murs, appelées boulins. Par analogie et toujours dans la langue latine, le terme a été utilisé pour désigner les niches où l’on plaçait les urnes funéraires
314 Luc Médard Centre commercial Westfield Parly 2. Portique soutenant les verrières de l’extrémité du bâtiment initial. Porte Madeleine.
315 Elisabeth Winterhalter DUTARTRE
CHEMIN DES DAMES
Evocation … sous un ciel de plomb roulent des nuages bas ; des réseaux de fer surmontent des murs gris, entaillés d’une profonde tranchée. Une immense croix de bois, couchée, pointe vers le visage inquiet de Georges Guynemer « héros légendaire tombé en plein ciel de gloire ». Devoir de mémoire ? Le cadrage d’une photo suggère parfois des visions inattendues…
316 Pierre-André Schoentgen

Lumière d’automne sur le clocher de l’église Notre Dame de la Résurrection.

L’histoire de la plus récente des églises du Chesnay est directement liée celle de Parly 2. Ce sont les demoiselles Poupinet, filles d’un ancien maire du Chesnay, Julien Poupinet ( 1913 – 1925 ), qui ont fini par accepter de vendre leurs 110 ha de terrain au promoteur Mr Balkany, à condition, entre autre, qu’une église y soit construite. Sa construction confiée à l’architecte Claude Balick, a démarré en 1969 et a  duré deux années. Elle a été consacrée le 20 décembre 1971.

317 Pierre-André Schoentgen

Le plongeoir extérieur de la piscine municipale, aujourd’hui désaffecté. Son dessin imposant sous ce ciel menaçant donne une image forte.

4)  Site Parvis de la Mairie du Chesnay

N° photo Photographe Description de la photo
401 Luc Médard Façade latérale de l’INRIA voir commentaires image n°202
402 François Winterhalter ROCQUENCOURT
BLANCHES ET NOIRES
Pris sous cet angle insolite le gymnase Pierre Curvat étire ses harmonies de touches blanches et noires vers un ciel orageux, tel un clavier de piano dressé à la verticale. Ses lignes tendues convergent vers une lumineuse trouée d’azur, en laquelle le miroir de la façade semble se fondre en un reflet bleuté.
403 Nathalie Gayet Une fois encore, le photographe lève les yeux pour découvrir les trésors imaginés par les architectes. Une verrière qui laisse passer le ciel, des lignes et des couleurs qui se répondent et s’apprivoisent. Un peu de poésie pour qui prend le temps de regarder.
404 Ghislaine Meicler Etablissement Blanche de Castille , Le Lycée Blanche de Castille est un lycée général privé sous contrat situé à Le Chesnay-Rocquencourt et faisant partie de l’académie de Versailles.
Le Lycée Blanche de Castille se distingue notamment par l’enseignement des langues suivantes : chinois, italien, chinois.
Il propose la/les section(s) : Section européenne, Section Arts.
Il offre aussi la possibilité de suivre des spécialités peu proposées par d’autres établissements comme les spécialités numérique et sciences informatiques, langues, littératures et cultures étrangères et régionales.
405 Nathalie Gayet Les hublots m’ont fait penser à un bateau, les formes et les couleurs m’ont fait déclencher. J’ai compris depuis que ces carrés abritaient des rondes et des arabesques.
406 Luc Médard Hall d’entrée, la « goutte d’eau » de l’immeuble de bureau construit dans les années 1960 par Jean Dubuisson, au milieu d’un parc. Il a fait l’objet d’une restructuration en 2019 par l’agence Dubuisson.
Jean Dubuisson, 1914-2011, a été l’un des architectes majeurs de la Reconstruction et des Trentes Glorieuses au travers de la construction de logements sociaux, d’immeubles de bureaux, d’édifices publics ou religieux.
407 Philippe Meicler LA MAISON DU CHAPELAIN : PREMIÈRE MAIRIE DU CHESNAY
Située au 21 de la rue Jean-Louis-Forain
En 1638, Pierre Le Pelletier, frère du châtelain du Chesnay, nomma par acte notarié un homme d’église au Chesnay « pour enseigner aux petits enfants des villages alentour et principalement à ceux de la paroisse ».
En 1778, l’école fut rebâtie au même emplacement. Le projet d’origine de cette reconstruction, ambitieux, allait jusqu’à prévoir un large bâtiment de deux étages, mais les difficultés financières de la monarchie firent que le Domaine de Versailles se contenta d’une simple maison permettant le logement « d’un prêtre destiné à remplir la fondation d’une chapelle ». L’école fonctionnera jusqu’à la Révolution
Sous la Révolution, le bâtiment accueillit l’Assemblée Communale avec tous les édiles, dont le premier maire, Louis Pelin, et son successeur, le maraîcher Jacques Morin. En juillet 1796, c’est sous le nom de « Maison du Chapelain » qu’elle fut vendue comme bien national à Étienne-Denis Damas, curé du Chesnay depuis 1770, qui joua un rôle actif sous la Révolution. Il y mourut en 1803. Elle fut acquise par la suite par la famille Caruel de Saint-Martin.
Le bâtiment actuel, place Dutartre, construit en 1834, abrita la première mairie-école qui fut désaffectée en 1877,  puis jusqu’en 1975. c’est le café-tabac-épicerie Berton qui s’v installa. Aujourd’hui, c’est une maison d’habitation.
La confrérie Saint-Fiacre, dont la statuette est toujours visible sur la façade, y tenait ses réunions. 
408 François Winterhalter EGLISE SAINT-ANTOINE
PUISSANCE ET GRÂCE
Puissance du pilier et grâce de la voûte surmontant l’entrée s’unissent et se soutiennent en épousailles de pierre, soulignées par le jeu de lumières glissant du clair-obscur vers la clarté. Les croisées d’ogives de l’arrière-plan naissent et s’élancent dans une même courbe, rythmées par les discrètes touches de couleur des vitraux. La pierre vivrait-elle animée de lumière ?
409 Philippe Meicler HÔPITAL MIGNOT
Cour intérieure
410 Martine Goavec Détail d’un immeuble de bureaux, quartier Aubert.
411 Pierre-André Schoentgen

Encore un immeuble devant lequel on passe trop souvent sans prendre le temps de le regarder. Situé sur la Place Saint Antoine de Padoue à l’angle de la rue Georges Chapelier, il tranche parmi les maisons en meulières des environs. Sa façade en briques, ses motifs de couleurs, ses courbes et ses balcons sont d’une grande élégance.

412 Bruno C. Chèvreloup_Rocquencourt : ” Après moi, des yeux de pierre veilleront sur mon domaine
 ” Statue de Roosevelt .
413 Elisabeth Winterhalter PLATEAU ST ANTOINE
OMBRE ET LUMIERE
Mon œil a été attiré par les contrastes presque violents qu’un soleil éclatant de début d’après-midi fait naître sur cette façade moderne, rue de Versailles. L’ombre du réverbère anime l’ensemble : les lignes obliques des encadrement des portes-fenêtres et de leurs volets sont barrées par les lignes brisées du réverbère. A ce moment de la journée, son ombre sur la façade intercepte exactement l’angle d’une fenêtre. Le noir des fenêtres et des volets, comme du réverbère et de son ombre, relève les teintes un peu ternes du mur.  Il en résulte une vue aux lignes fortes et graphiques.
414 Luc Médard Lycée Jean Moulin. La structure de ce bâtiment est typique des années 1980 avec ces barres soutenant la toiture.
415 Nathalie Gayet Des années que ces petites maisons alignées entre la route de Mantes et l’allée des Cytises attirent mon regard et me questionnent quant à leur origine et leur destination initiale. Leur extrême simplicité me touche. Le noir et blanc s’imposait.
416 Ghislaine Meicler Au sein des résidences de Parly 2 , de nombreux espaces de verdures avec bassins et les bâtiments avec leur structure en moucharabiés.
417 Pierre-André Schoentgen

Les anciens bâtiments préfabriqués du collège Charles Peguy manquent de charme. Pourtant les équipements sportifs colorés en avant plan et le soleil hivernal ont permis d’en donner cette image élégante.

418 Nathalie Gayet Une symétrie quasi parfaite, un étage ouvert, l’autre fermé et toujours cette superbe pierre meulière. La rue de Versailles côté St Antoine.
419 Arielle Donnio-Puechoultres Cours Exelmans
Le vieux bourg de Rocquencourt a vu sa physionomie changer ces dernières années avec la construction de nouvelles résidences … notamment celles des Terrasses de l’Arboretum à la lisière de la forêt domaniale de Marly.
420 Arielle Donnio-Puechoultres A vol d’oiseau
Une corneille se repose sur le toit de l’église St Antoine … admirant le panorama de la ville qui s’étend à ses pattes : La rue Bellevue en premier plan, puis le quartier pavillonnaire de Glatigny, le lycée professionnel Jean Moulin sur la gauche et sur la droite, les résidences Monceau et St James de la copropriété de Parly II. A l’horizon, s’étendent les premières futaies de la forêt domaniale de Fausses-Reposes.
421 Pierre-André Schoentgen

Le batiment principal du campus de l’Institut National de recherche en Informatique et en Automatique (INRIA) adossé à la forêt de Marly à Rocquencourt date de 2001. Il est l’œuvre de l’architecte Henri Ciriani. Il y a fait un usage quasi exclusif de beton armé coulé sur place. L’absence de poutre, les voiles et les dalles qui se plient, se retournent et se déploient dans les airs lui donnent force et légèreté. Ces pare soleil qui ornent la façade principale recouverts de pâte de verre multicolore – très Mondrian – témoignent de la volonté picturale de leur auteur.

422 Ghislaine Meicler Située dans un écrin de verdure la résidence des Chênes d’Or accueille les personnes âgées de 60 ans et plus, en perte d’autonomie. L’établissement dispose de 69 chambres de 20 ou 30 m2. Les chambres ne sont pas meublées afin de permettre à chacun un aménagement personnalisé. Seul le lit médical est imposé.
423 François Winterhalter CENTRE MARTIN LUTHER KING
PARMI EUX
Quelques fauteuils de récupération en caillebotis assemblés à l’ombre d’une immense croix, des objets de bric et de broc parsemés çà et là, de courtes herbes folles courant à travers les fentes du béton : au milieu d’eux un fauteuil bleu, couleur d’espérance. Une évocation visuelle que Martin Luther King, apôtre des droits civiques des Noirs aux US, ou Saint François d’Assise, pauvre parmi les pauvres, auraient peut-être apprécié ?

5) Site École Caroline Aigle

N° photo Photographe Description de la photo
501 Luc Médard Descente vers les salles du cinéma UGC. Le nouveau cinéma du centre commercial Parly2 a été imaginé par l’architecte Pierre Chican. Depuis mars 2019, il offre 12 salles équipées des dernières technologies.
502 Pierre-André Schoentgen

Quand la ville dort …

503 Luc Médard Escalier d’un centre technique municipal. Architecture « brutaliste » en béton.
504 Nathalie Gayet « Tout pour la table » et le vestige d’une époque qui petit à petit disparait de la rue de Versailles. Une architecture encore pleine de charme et une question au bout des lèvres … que va devenir cette adorable maison ?
505 Martine Goavec Détail d’un immeuble, quartier Aubert.
506 Pierre-André Schoentgen

Ces deux ailes de l’hôpital Henri Mignot se font face dans la nuit. Le bardage et l’éclairage cru des salles techniques de la façade de droite répondent à la lumière chaude et tamisée des chambres de la façade de gauche. Le tout sous le reflet de balises rouges de l’héliport.

507 Elisabeth Winterhalter ROCQUENCOURT
FACADES RUE DES ERABLES
L’architecture des immeubles modernes rue des Erables présente des lignes tendues et anguleuses, soulignées d’ombres et de lumières, qui construisent une vue graphique. Leur aspect rigide et un peu impersonnel est égayé par la vie intense que suggèrent les nombreux arbustes et mobiliers de jardin ornant les balcons. Les nuages déjà boursouflés d’une chaude matinée de printemps animent le ciel et contrastent avec la rigidité du bâtiment : annonce d’un orage dans l’après-midi ?
508 Martine Goavec Détail de la façade du cinéma. Le nouveau cinéma du centre commercial Parly2 a été imaginé par l’architecte Pierre Chican. Depuis mars 2019, il offre 12 salles équipées des dernières technologies.
509 Martine Goavec Détail d’une façade de maison en meulière.  Les maisons en pierres meulières ont été construites entre 1880 et 1930 en Ile de France. La pierre meulière est une roche siliceuse qui servait à la fabrication des meules à grains jusque dans les années 1880 puis à la construction de bâtiments de style Art Nouveau.
510 Arielle Donnio-Puechoultres Salle des fêtes
Située à côté de l’ancienne mairie du Chesnay, construite au début du XX siècle et superbement rénovée dans les années 2010, cette salle porte le nom de communale, de municipale mais aussi de salle des fêtes dans le cœur de nombreux anciens Chesnaysiens.
511 Ghislaine Meicler Le dôme central du bâtiment dessiné par jean Dubuisson, rénové ces 2 dernières années. Dessous une grande salle conviviale avec coussins et bureaux en open-space.
512 Nathalie Gayet L’élégance jusqu’au bout. Une répétition de « motifs voilés » tellement bien assortie au marbre du type 3 de Parly 2
513 François Winterhalter CHATEAU DE BELLEVUE
BELLE-VUE DOREE
La lumière dorée d’une fin d’après-midi d’hiver s’attarde sur le château de Bellevue et fait chanter les teintes ocres des briques assorties au gris-ardoise des toits pentus. L’ancien havre d’accueil de la reine Amélie du Portugal est un témoin remarquable, parmi d’autres, de l’architecture des demeures bourgeoises de la fin du XIXe siècle qui égaient le plateau Saint-Antoine. J’aime la « vie » de cette demeure altière où le regard s’attarde et saute de pignons baroques en tourelles et mansardes coiffées de chapeaux pointus, des fenêtres dressées allongeant et rythmant la façade jusqu’aux hautes cheminées et frises de fer-forgé qui couronnent l’ensemble.
514 Pierre-André Schoentgen

Quand l’issue de secours, sous la forme d’une spirale très graphique, apporte une touche d’élégance à un banal immeuble de bureau.

515 Luc Médard Poste électrique en brique et structure béton au milieu de villas en meulière.
516 Nathalie Gayet Une grande bâtisse étrangement décalée au milieu d’un rond-point.  Une architecture sans éclat néanmoins réhaussée par cette couleur bleue qui fait penser au sud et l’alignement parfait des fenêtres à tous les étages. Petit coup de cœur.
517 Martine Goavec Détail d’un immeuble d’habitation.
518 Elisabeth Winterhalter CŒUR DE VILLE
2001 L’ODYSSEE DE … LA PISCINE
Oui, vous avez raison, l’image de la toiture et de son reflet dans le miroir de l’eau sont curieusement pivotés à la verticale. Mais pas de torticolis : rapprochez-vous, oubliez un instant la piscine, et imaginez-vous flotter en apesanteur dans les immenses entrailles d’un vaisseau spatial futuriste à la Stanley Kubrick, abritant ce grand satellite de poutrelles blanches. Détournement d’image ? Parly 2 – d’ailleurs contemporain du film l’Odyssée de l’Espace – était une vision d’avenir pour ses architectes : prolongeons leur rêve… l’essentiel est invisible pour les yeux…
519 Luc Médard Détail du CPH (Consortium Parisien de l’Habitation)
Un jeune promoteur Robert de Balkany, son associé Jean-Louis Solal, pionnier des centres commerciaux en Europe et l’architecte Claude Balik eurent l’idée de créer à ¼ d’heure de Paris « une ville à la campagne », un « nouvel art de vivre à l’Ouest de Paris » selon un concept inédit, un ensemble immobilier conçu autour d’un centre commercial comme en Californie.
L’ensemble immobilier est constitué de 278 bâtiments représentant 7 500 logements d’habitation regroupés en 36 résidences, d’un centre commercial régional appelé également Parly 2, de 3 centres commerciaux de proximité et de parties communes composées de 8 piscines, 7 cours de tennis et de 3 aires de jeux d’enfants, d’une église (Notre Dame de la Résurrection), d’un centre cultuel (Martin Luther King) et d’un centre culturel.
La réalisation de ces 3 derniers éléments étant la condition sine qua none pour que les sœurs Poupinet acceptent de vendre leur terrain au promoteur.
Livrée en 1978, Parly 2 est devenue la plus grande copropriété d’Europe
520 Nathalie Gayet La rue de Versailles est une pépite pour celui qui prend le temps de regarder. On y passe souvent trop vite. La symétrie de ces fenêtres et des rideaux qui les habillent, la diversité des matériaux et la douceur des couleurs m’ont interpellée.
521 Pierre-André Schoentgen

Le dispensaire municipal dont l’initiative revient à la municipalité de gauche de Mr Montprofit (1924-1929) fut inauguré par le Maire suivant Mr Crozet. Ce joli batiment à l’architecture soignée, proche de l’ancienne Mairie du Chesnay rue du General Exelmans, abrite aujourd’hui la Bibliothèque Pour Tous.

522  Luc Médard Eglise de Jésus-Christ des saints des derniers jours

6) Site Ancienne Mairie

N° photo Photographe Description de la photo
601 Philippe Meicler En 2021, le gymnase Pierre-Curvat a été inauguré.
Les 20 mois de travaux ont permis de rénover en totalité les différentes salles de ce gymnase ainsi que ses abords extérieurs, d’installer un ascenseur, de remplacer les peintures, les revêtements des sols, le système de chauffage et les luminaires en Led.
602 Pierre-André Schoentgen

Longtemps après la tombée de la nuit, la rue de Versailles, au cœur du vieux Chesnay, évoque encore le village de jadis.

603 Elisabeth Winterhalter CŒUR DE VILLE
TUBES ET TUBAS
Le jeu des reflets des poutrelles sombres et des conduits de ventilation sur le miroir d’eau de la piscine, un petit matin frais d’hiver, a attiré mon attention par son côté graphique et inhabituel. Sous cet angle de vue, la ressemblance des gros tuyaux coudés avec des tubas m’a amusée : est-ce un clin d’œil de l’architecte aux nageurs ?
604 Philippe Meicler DUTARTRE
MEDIATHEQUE
La médiathèque c’est :
65 000 livres
150 titres de presse
Une salle studieuse pour se concentrer
Un espace multimédia pour consulter internet, travailler, jouer aux jeux vidéo…
Un espace dédié aux tout-petits ( avec salle de change )
Des services en ligne accessibles 24h/24 : cinéma, autoformation, soutien scolaire, développement personnel, cours de langue…
Des animations variées, en journée ou en soirée, tout au long de l’année et pour tous les âges
605 Ghislaine Meicler Une salle de bain dans la Villa Chevreloup.
La villa de Chèvreloup est achetée par la ville du Chesnay et réhabilitée en 1992. Aujourd’hui, la villa de Chèvreloup est un lieu pour des réceptions privées, des évènements professionnels et des séminaires.
La statue de Franklin Roosevelt à l’entrée
La famille du sculpteur Raymond Couvègnes ( 1893 – 1985 ) a tenu à faire don de cette œuvre à la ville du Chesnay. Premier grand prix de Rome en 1927, l’artiste s’est distingué par sa généreuse contribution à la reconstruction de la France d’après-guerre.
506 Luc Médard Centre commercial Westfield Parly 2 : parking aérien.
607 Pierre-André Schoentgen

La voute plissée en étoile de l’église Notre Dame de la Résurrection, autour d’un puit de lumière symbolise la couronne d’épine ceignant le Front du Christ

L’histoire de la plus récente des églises du Chesnay est directement liée celle de Parly 2. Ce sont les demoiselles Poupinet, filles d’un ancien maire du Chesnay, Julien Poupinet ( 1913 – 1925 ), qui ont fini par accepter de vendre leurs 110 ha de terrain au promoteur Mr Balkany, à condition, entre autre, qu’une église y soit construite. Sa construction confiée à l’architecte Claude Balick, a démarré en 1969 et a  duré deux années. Elle a été consacrée le 20 décembre 1971.

608 François Winterhalter EGLISE SAINT-GERMAIN
REPOS A L’OMBRE DU CLOCHER
Les rayons du soleil rasant d’une journée d’hiver dorent le clocher de l’église Saint-Germain, qui se découpe sur un fond de nuages bleutés, entre les branchages nus des arbres doucement inclinés au-dessus des anciennes tombes. La lumière chaude avive les teintes mordorées du tapis de mousse étendu entre elles et qui commence à les recouvrir. J’aime le jeu des couleurs de cette image simple et paisible, et l’impression de sérénité qui en émane.
609 Elisabeth Winterhalter PLATEAU ST ANTOINE
RÊVE DE MEULIERE
L’aube approche en ce petit matin brumeux d’hiver. La maison s’éveille peu à peu, quelques fenêtres sont déjà allumées. La rue s’anime : les phares d’une voiture éclairent la clôture à droite. Un réverbère tire de l’ombre le côté gauche de la maison alors que le droit demeure dans un clair-obscur souligné par les deux hautes cheminées. Il darde un rais de lumière parallèle à un pan de la toiture et ramène ainsi le regard vers la façade.
J’ai volontairement resserré le cadrage sur le faîte du toit, pour mettre en valeur la taille de cette belle demeure ancienne, où le regard voyage de détail en détail : jeu des pierres de meulière, détails des encadrements de fenêtres, frise ornant la façade, poutrelles et décors sous les pans de toiture, légères ombres esquissées derrière les fenêtres. Au tiers inférieur de l’image les branchages donnent de la profondeur. La clôture qui ferme le bas de la photo, à angle droit avec le réverbère, structure visuellement ce portrait.
610 Arielle Donnio-Puechoultres Hôpital Mignot
Construit dans le parc du château du Chesnay et inauguré en 1981, cet hôpital remplace le vieil hôpital Richaud dont l’origine remonte à Louis XIV. Il porte le nom d’André Mignot, sénateur-maire de Versailles qui a beaucoup œuvré pour ce projet. Son architecture fait la part belle aux vitres miroirs qui rappelle les constructions de la Défense mais aussi les structures de verre comme celles du palmarium du Jardin d’acclimatation si propices à l’amélioration des conditions de vie de tout être vivant.
611 Nathalie Gayet La curiosité m’a emmenée au fond du square Gericault. J’y ai trouvé des lignes, des ronds, des carrés et des reflets.
612 Ghislaine Meicler Graphisme avec les “moucharabiés” caractéristiques de certains bâtiments administratifs de Parly 2
613 Nathalie Gayet Des cubes pour accueillir nos ainés. Une architecture audacieuse et originale qui une fois de plus incite à lever les yeux.
614 Luc Médard Villa, quartier Fausses Reposes dont la propriétaire nous a confié qu’elle était surnommée «Maison au crépi neige sale ».
615 Arielle Donnio-Puechoultres Habitat Caruel de St Martin
Avant d’être la plus vaste copropriété d’Europe, la ville du Chesnay était essentiellement agricole avec sa grande ferme appartenant à la famille Poupinet mais aussi industrielle avec les établissements Bauche puis Fenwick-Linde situés à l’emplacement de l’actuelle Grande Scène / Bibliothèque. Des logements sociaux furent créés pour abriter la population chesnaysienne y travaillant notamment dans la proche rue Caruel de St Martin. Ceux-ci, réhabilités au début des années 2000, avec leurs détails architecturaux de briques rouges sur leurs façades, rappellent les anciennes usines de la ville.

7) Site Parvis de l’Église Saint-Antoine

N° photo Photographe Description de la photo
701 Philippe Meicler HÔPITAL MIGNOT
Sous les luminaires de l’entrée, graphisme au plafond.
702 Nathalie Gayet Des fils, des lignes et des couleurs habillent le « ciel » du centre commercial Westfield Parly2. L’architecte vous invite souvent à lever les yeux.
703 Ghislaine Meicler Entrée caractéristique d’une résidence de parly 2.
D’abord dénommé « Paris 2 », clin d’œil à la proximité du Chesnay avec la capitale, le nom « Parly 2 » est ensuite adopté pour désigner la construction d’une gigantesque copropriété : 7500 appartements sur 100 hectares. Cette opération immobilière de la fin des années 1960, dans une tranquille bourgade, fait figure de challenge pour la ville. Il est toujours aujourd’hui un modèle d’art de vivre et d’autogestion avec une copropriété de 15 000 personnes.
704 Philippe Meicler Derrière cette Salle Municipale se cache Le Chesnay Danse Sportive
705 Luc Médard Enfilade de maison en meulière, en face de l’ancienne Mairie de Rocquencourt. Rue du Chemin Creux.
706 Arielle Donnio-Puechoultres Jean Dubuisson
Au début des années 1960, la Compagnie générale de télégraphie sans fil (CSF) commande à l’architecte Jean Dubuisson, un des représentants majeurs de l’architecture française des Trente Glorieuses, la construction de son siège. Influencé par Le Corbusier, ses œuvres architecturales dont l’esthétique abstraite rappelle l’art cubique, séduisent les amateurs du modernisme d’après-guerre à la recherche d’un cadre de vie et de travail lumineux et aéré.
707 Philippe Meicler COEUR DE VILLE
La mairie actuelle en contre plongée.
Le nom de la localité est attesté sous les formes latines Canoilum en 1122, Chesneium, Chesnetum au XIIIe siècle et Le Chenay en 1793.
Le toponyme Le Chesnay est une forme archaïque pour « la Chênaie » en ancien français.
708 Pierre-André Schoentgen

Le lotissement de Bricqueville est dû à la volonté de 6 agents EDF-GDF conduits par Marcel Le Bec, de créer bénévolement et en dehors de leurs heures de travail une Société Civile Immobilière dédiée à la construction de logement en accession à la propriété pour leurs collègues. C’est ainsi que seront construit entre 1956 et 1957 une cinquantaine de pavillons et un collectif de 32 appartements sur l’emplacement d’anciens jardins ouvriers situées entre les rues de Galtigny et de la Résistance. Ils ont été réalisés suivants des plans de l’architecte Bernard Gosse, souvent avec le concours de certains agents eux-mêmes pour les installations électriques et la plomberie. Vu la demande très largement excédentaire à l’offre l’aventure s’est poursuivie dans les années suivantes par la construction des immeubles collectifs situés à hauteur des numéros 61 et 63 de la rue de Glatigny. La SCI des Bricqueville a obtenu l’Oscar du Logeco pour la réalisation de logement le mieux construit pour le moindre prix.

Sur cette photo les toitures des pavillons situés rue Philippe Lebon répondent à la façade du collectif de l’Allée de Mercure.

709 Luc Médard Sculpture du centre commercial Westfield Parly 2 datant de l’origine du centre.
710 Ghislaine Meicler Un espace convivial et verdoyant.
Construite au début du 19ème siècle sur une parcelle du Château de Versailles, la Villa de Chèvreloup présente une architecture bourgeoise propice aux festivités. 
Idéalement située à 12 kilomètres de la capitale, elle est implantée dans un superbe parc
711 Ghislaine Meicler La façade de meulière derrière la barrière rouge.
712 Philippe Meicler EGLISE SAINT-ANTOINE
A travers le balcon, près des l’orgue .
713 Pierre-André Schoentgen

A l’heure où se terminent les derniers entrainements du club de natation, la séduisante architecture de la piscine municipale (construite à 1970 à ciel ouvert puis réhabilitée et couverte en 1994) est bien mise en valeur sur cette image : sa toiture en verre sur une structure en bois lamellé collé solidement ancrée dans cet alignement de massifs en béton.

714 François Winterhalter DUTARTRE
BALCONS EN PERSPECTIVE
J’ai été intéressé par le graphisme fort, très contrasté en noir et blanc, des rangées de grands balcons (« Petites Boites toutes pareilles … ») des immeubles de la rue de Versailles. La vue en perspective tire parti de leur alignement d’immeuble en immeuble pour conduire notre regard en direction de la Place de la Loi. Très haut dans le ciel matinal la trajectoire d’un avion anime le coin de l’image, et accompagne discrètement cet alignement.
715 Pierre-André Schoentgen

Ces toiles tendues sur une structure métallique abritent les courts en terre battue du Tennis Club du Trianon. Sous cet angle et cet éclairage, difficile de ne pas y voir des dunes au milieu de la ville.

716 Philippe Meicler DU CHÂTEAU À L’HÔPITAL MIGNOT
Ce pavillon d’ordonnance classique, entouré de deux ailes formant une cour octogonale, est plus connu aujourd’hui sous le nom de Château Aubert, nom de son dernier propriétaire
Il a appartenu de 1641 à 1651 à Paul Le Pelletier des Touches puis à Charles III Maignart de Bernières, fameux jansénistes, pour y installer des « Petites Écoles ». Créées par des intellectuels tels Blaise Pascal, elles perdureront une quinzaine d’années avant leur dispersion ou disparition décidées par le pouvoir royal en 1660. Le château fut ensuite acheté en 1667 par Antoine de Ratabon puis fut démoli à la fin de l’Ancien Régime et enfin rebâti.
En 1802, le château fut acheté par Jean-Baptiste Caruel de Saint-Martin, un homme fortuné qui fit affaire dans la Manufacture des Tabacs sous la Révolution puis l’Empire. Il y accueillit son neveu, le peintre Théodore Géricault (Le radeau de la méduse), dont il finança les études, pendant quelques années. Géricault laissa de nombreux dessins du domaine C’est à proximité du Château du Chesnay qu’eut lieu l’épilogue de la Bataille de Rocquencourt le fer juillet 1815, dernière victoire des armées napoléoniennes en déroute sur les Prussiens qui encerclaient Paris.
Le château appartint par la suite à Paul Caruel de Saint-Martin, maire du Chesnay et député, qui y reçut maintes personnalités.
En 1945, pendant plusieurs semaines, le château servit de lieu de détention à Albert Speer, architecte du Troisième Reich et à plusieurs responsables allemands de l’armement
Son dernier châtelain fut l’industriel Pierre Aubert (1873-1965). En 1967, il fut cédé au Centre hospitalier de Versailles.
717 Luc Médard Arboretum de Chevreloup. Regard datant de Louis XIV pour les canalisations amenant l’eau depuis la Seine vers le Château de Versailles. Toiture en lauzes de Pierre.